Chausson chaussette Collégien, le retour !


Je ne sais pas si vous connaissez cet étrange chausson, ou si comme moi vous en avez eu petit, mais je me souviens très distinctement de ma paire à moi, rouge avec des étoiles de neige blanches, que j’ai traînée et usée jusqu’à la trame. Je ne pensais même plus que cela existait, et puis ma babychou s’est mise à marcher (oui, ça fait un bail que j’aurais pu écrire ce post, j’avoue). Et donc, quand l’enfant se hisse sur ses pieds pour se lancer à la découverte du vaste monde, forcément, tu as envie de l’aider à prendre confiance et lui éviter de se casser le nez. Vu qu’elle était à la crèche, en chaussettes c’était vraiment pas évident sur le sol, et je la retrouvais souvent pieds nus ce qui était bien pour l’accroche du pied mais moins pour avoir les petons au chaud en hiver. Du coup j’ai recherché des chaussons antidérapants (histoire aussi d’éviter qu’elle soit pieds nus en permanence hein, tant qu’à faire si elle pouvait marcher ET éviter d’être enrhumée en permanence…)

Et là : TA DAAA. Je pensais que les « chaussons-chaussettes » étaient un truc vaguement commun, qu’on trouvait un peu partout… Que nenni ! La principale marque qui fait ça avec des semelles en gomme s’appelle Collégien, une entreprise familiale qui fait du made in France depuis 1947 (quand même!). Les autres modèles du marché ont souvent des semelles en cuir fin ou juste des points de gomme antidérapants mais sans semelle.



Bref, j’ai testé et ça a été la révélation, à se demander pourquoi tous les autres enfants de la crèche n’en ont pas. Franchement c’est une solution épatante ! Faciles à enfiler (elle les met et les enlève seule), la semelle est super ergonomique et épaisse avec semelle intérieure en plus de la gomme extérieure dont les picots agrippent parfaitement le sol, ça n’entrave pas le mouvement et ça tient bien chaud. Elle pourrait presque faire de l’escalade avec, et en plus ils se plient super bien dans une valise ou un sac, et en avion ou dans le train, ils sont super pour voyager ! Du coup, je lui en ai commandé plusieurs paires depuis. Ce n’est pas donné, plus cher que les modèles bas de gamme, mais pour avoir testé les Collégien plusieurs fois, ils tiennent très bien dans le temps. Et en fait, ce n’est pas vraiment un produit 100% hiver : à part en plein été quand il fait 30 degrés, ma baby les porte toute l’année, parfois pieds nus dedans, parfois avec chaussettes quand elle est en poussette avec. Bonus : la semelle se nettoie très bien en un coup d’éponge (ceci dit je n’ai jamais tenté de les passer à la machine bien que ce soit prévu pour).
Il y a pas mal de motifs et plusieurs matières. Attention toutefois, pour avoir pu comparer, les meilleurs pour l'hiver, sont les « cachemire et laine », sinon les coton ou bouclette, tout simples. ). Par goût je trouve ensuite que la matière polaire doit être moins chic, mais les Be Cool, moins chauds peuvent être intéressants pour l’été, justement. Il y a aussi des ballerines, mais je trouve qu’elles ne tiennent pas au pied. Sinon, j’ai essayé la laine (ancien modèle, en photo avec le décor montagne) mais le tissage était bien moins élastique, à taille égale baby ne peut pas les porter, ils sont trop serrés, mais je les garde pour la n°2 qui les mettra quand elle fera du 21, ça devrait le faire . A noter du coup: les tailles sont des doubles tailles. Là elle fait du 23, donc je prends encore 22-23 car la taille suivante, 24-25, est beaucoup trop grande, donc. 


Pour cet hiver, j’ai choisi un adorable modèle à pois et un autre, léopard pour elle… et pour moi ! Je vous livre quelques photos qui j’espère vous donneront envie parce que moi je les adore. Et pour adulte, c’est aussi très confort !

Compter 26 à 33€ en moyenne pour une paire. L’idéal c’est de faire une commande groupée pour rentabiliser les 6,90€ de frais de port. Voilà, je vous ai tout dit, à vous maintenant de me dire si vous les connaissez et si comme moi ils sont devenus les chaussons idéaux ! Site: http://collegien-shop.fr


Des enfants enlevés dès la naissance par l’ « aide sociale » en Grande Bretagne

Peut-être avez-vous entendu parler de ce sujet sur les réseaux sociaux ? Depuis deux jours en effet, le replay d’un reportage absolument édifiant commence à se diffuser. Et je compte sur vous pour le partager encore plus via cet article.
Des journalistes français ont pu suivre des familles anglaises à qui « l’aide sociale à l’enfance » anglaise à arraché à la naissance, ou a tenté de le faire, leurs enfants, soit pour des prétextes infondés soit, et c’est là que le bât blesse, par anticipation de potentielle maltraitance.
En gros, la plupart de ces familles sont ce qu’on pourrait appeler des « cas sociaux » dont le passé est connu des services sociaux qui leur tombent dessus à peine la grossesse déclarée.


Pour que ce soit bien clair :
- oui, moi comme vous , pouvons parfois penser que certains parents, sur le fil, auraient mieux fait de ne pas faire d’enfant dans leur situation vu leur négligence, leurs conditions de vie ou leur violence/alcoolisme etc.
- Bien sûr que je comprends l’intention de départ qui consiste à se dire que quelqu’un drogué, alcolo ou pathologiquement associable ou psychotique par exemple pourrait représenter une menace et qu’agir en amont éviterait des drames.
- Oui, cela aussi arrive en France (en cherchant, on trouve des infos comme sur ce site) mais il me semble que chez nous, on tente plutôt d’aider les familles, à tel point que l’inverse se passe (tout aussi incompréhensible) des enfants meurent sous les coups de leurs parents ou beaux-parents alors que plusieurs signalement ont été faits. Autant dire qu’en GB on peut penser que la petite Fiona serait sans doute encore vivante...
MAIS.
La situation en Grande Bretagne est absolument terrifiante et c’est tout ce que démontre ce reportage qui me retourne le cerveau depuis 3 jours car j'imagine que si vous êtes maman, vous savez comme moi que RIEN ne remplace la présence et l'amour des parents, aussi démunis soient-ils dans la construction d'une enfant. Et rien n'est plus destructeur que d'en être privé.
Voici ce qu'on y apprend:
- tout d’abord, l’énoooorme biais réside dans le fait qu'en Grande Bretagne on exige de chaque « county » un quota d’enfants à livrer à l’adoption. Oui, oui, on leur demande un chiffre minimum… qui, tenez-vous bien, conditionne les aides que le comté reçoit (ou non) de l’Etat. En gros, si les travailleurs sociaux enlèvent assez d’enfants à des familles pour les faire adopter, bingo ! Ils reçoivent les aides financières, sinon, non, ou moins. Vous n’hallucinez pas, malheureusement et il est soudain facile comprendre pourquoi une avalanche d’abus a lieu chaque année.

- ensuite, autre problème et non des moindres (qui permet aussi de comprendre comment on peut justifier les manipulations ou fausses déclarations pour arriver aux fins financières ci-dessus) : la loi inclue le principe de « doute » et de maltraitance potentielle. Il n’est pas nécessaire que les parents aient maltraité leur enfant pour qu’on leur retire : il suffit que l’on pense qu’ils POURRAIENT le faire pour justifier l’enlèvement. D’où l’enlèvement de nouveaux-nés à des parents qui n’avaient jamais eu d’enfant avant (et n’avaient donc aucun passif, CQFD). C’est la présomption de… culpabilité à venir.

- enfin, troisième chose extrêmement choquante : l’aide sociale (ces gros batards, donc) cible en amont les familles les plus pauvres, les moins éduquées, et qui n’ont souvent pas les moyens financiers ou culturels de pouvoir réagir. Ces profils sont repérés à l’avance, ciblés pour ne pas dire fichés, pour avoir eux-même sollicité de l’aide par le passé. Une dépression, un coup dur qui a nécessité la visite d’une assistante sociale, quand ce n’est pas le simple fait d’avoir été soi-même été placé enfant en famille d’accueil : tout ça légitime à leurs yeux la suspicion. Comme si on ne pouvait pas avoir eu ce genre de parcours et être par la suite un bon parent.
Note bonus : à la base, la loi votée par Thatcher avait pour but de casser le cycle de la pauvreté en enlevant les enfants pauvres pour les insérer dans des familles « middle class » : il s’agit donc bien d’un ciblage horriblement précis.


A ces faits déjà complètement hallucinants s’ajoutent quelques cerises sur le pudding :
- En bonus, il n’y a qu’un type d’adoption en GB : l’adoption plénière, c’est-à-dire irrévocable et avec interdiction totale de transmettre les infos aux enfants plus tard, pour bien anéantir les liens existants.
- Quels que soient les constats des divers acteurs/experts, les rapports des services sociaux priment, même sur ceux de la police. Même, il n’est pas rare de trouver de faux documents qui contredisent des expertises demandées par les parents qui tentent de se défendre et que la justice en prend pas en compte.
- les journalistes britanniques ont interdiction de couvrir les affaires (histoire de bien passer tout ça sous silence)
- les parents n’ont pas le droit par la suite de parler de leur cas autour d’eux (heu, et tu dis quoi à ta famille quand tes 3 enfants te sont pris d’un coup ?)
- -ah oui- le délai maximum pour « régler » un dossier est de 6 mois. Entre l’enlèvement initial et l’offre pour adoption définitive : expéditif !
- les enfants quels que soient leur âge sont littéralement arrachés aux parents, du jour au lendemain, qu’ils aient 3 mois et soient encore allaités (!!!) ou 8 ans et qu’on vienne les cueillir à la sortie de l’école un soir sans prévenir.


- le meilleur pour la fin : quand exceptionnellement les parents ont réussi à faire reconnaître qu’il y avait une faute… on ne leur rend JAMAIS les enfants. Dans le cas du reportage : 3 enfants de 3 mois à 8 ans enlevés car celui du milieu avait une fracture inexpliquée à la cheville. Même après avoir reconnu l’origine de la fracture (le scorbut, normalement facile à détecter), aucun des 3 n’a été rendu.

Ca y est, j’ai de nouveau envie de vomir.

Bref, ça fait 3 jours que j’ai envie de crier tout ça au monde, et surtout de trouver comment médiatiser ce qui pourrait bien être un bon gros scandale. Le pire ? J’ai découvert qu’en Norvège aussi on voudrait bien modeler le peuple pour éradiquer les marginaux ou les cas sociaux : le Barnevernet (service de protection de l'enfance en Norvège) commet lui aussi de nombreux dérapages comme on peut le lire ICI. 
Pour la grande Bretagne, la seule manière de pouvoir médiatiser tout ça c’est de le faire par les parents depuis un autre pays (ou nombreux fuient pour échapper aux travailleurs sociaux qui les y poursuivent pour les intimider) et de faire couvrir les abus par une presse étrangère, comme on le voit dans ce reportageRegarde-le: une heure, certes, mais une heure les yeux écarquillés, entre indignation et consternation. (encore dispo en replay pendant 4 jours ici: http://pluzz.francetv.fr/videos/les_enfants_voles_d_angleterre_,148653060.html )
Liens utiles :
- Emission-débat après la diffusion sur France 5 où l'on apprend d'autres détails: http://www.france5.fr/emissions/le-monde-en-face/diffusions/15-11-2016_520483

Et partagez si comme moi vous ne pouvez imaginer un seul instant pouvoir survivre si on vous enlevait vos enfants de manière aussi brutale.



Marre des doigts dedans !!!


Amies mamans, papas, vous ne sauriez le nier plus longtemps : le changement de couche peut être un fabuleux moment de désespoir, renforcé par la récurrence du dit changement... 4 à 5 fois par jours, pendant près de 3 ans… J’ai pas fait le calcul mais je pense qu’on saisit l’idée. Et bien sûr, outre se retrouver dans la merde (au sens propre) par temps de gastro aiguë, et suffisamment pour partir au boulot le ventre à l’envers, il y a autre chose qu’il peut devenir agaçant d’avoir sur les doigts : la crème. La sacro-sainte crème de change que l’on applique consciencieusement, compulsivement, en cataplasme ou par période, mais que l’on applique quoi qu’il en soit. Perso, j’adore les crèmes, en tous genres, et une fois appliquée, soit je ‘létale sur mes mains #bonushydratation, soit je l’essuie sur la couche (propre hein) avant de la fermer.


Mais mon mec par exemple déteste avoir les mains grasses, du coup il se lave les mains après, à la moindre goutte de produit. Et puis parfois, le timing est serré : tu connais ce moment où elle est prête pour la crèche, ou, manteau sur le dos et chaussures enfin aux pieds après une bataille intense « non saussures, moi archer piénuuuuuus »), ce moment ou un fumet s’échappe devant la porte d’entrée alors que les clés sotn dans la serrure
Ce moment où tu reposes ton sac, tu enlèves ton manteau, son manteau, et où tu vois déjà les minutes défiler en temps de vie de chien, soit multiplié par 7. Et bien là, à ce moment, parfois tu n’as pas, mais alors pas du tout envie de mettre les doigts dedans. C’est là qu’intervient un produit au top dont je voulais vous parler depuis longtemps : le Spray Uriage anti irritations CuZn. Je l’ai recu avec différents autres produits pour bébé, plus classiques mais auxquels je suis fidèle pour le parfum mythique de la marque. j’ai mis un peu de temps à l’utiliser car il n’est pas aussi épais qu’un soin pour le siège en tube, forcément. Mais quand un jour ca m’a pris, j’ai eu une révélation sur l’utilité du truc. Et du coup j’ai découvert qu’il en existait d’autres chez Klorane par exemple dans la gamme Eryteal, super aussi, ou encore Mitocare chez Mitosyl, que je n’ai pas testé, il est très récent je pense. Bref, tu nettoies au coton, normal, et ensuite pschitt pschitt, et voilà. 2 secondes. Les mains propres et sèches. Tu repars.

Voilà donc pour l’astuce du jour, qui est aussi une très bonne idée en voyage, en voiture, chez des amis, bref, partout ou tu as envie de reléguer le changement de couche au statut de petit rien à gérer.

Ce que je pense des chiens dits « dangereux »


Voici un post qui découle d’un certain nombre d’interactions à Paris avec des chiens typés Pitbull & co et de réflexions qui s’en suivirent.
Je n’ai rien à priori contre ces chiens : on sait bien qu’un grand nombre d’entre eux passeront une vie paisible sans défigurer personne. Le web regorge d’ailleurs de vidéos de familles qui exposent des scènes attendrissantes avec leur pit et leur bébé, pour défendre la réputation de leur compagnon à quatre pattes… (pas le bébé, le chien, hein)
Mais. Oui, il y a un mais sinon il n’y aurait pas cet article pas vrai ?


Il arrive d’en croiser sans laisse, ni muselière alors que c’est obligatoire (Pour rappel, ce que dit la loi et les catégories de chiens ICI ), ou au bout d’une laisse molle dans une rue étroite. Bébé, aujourd’hui deux ans, qu’elle soit sur sa trottinette ou à pied est donc accessible à ces chiens. A eux comme à n’importe quel caniche d’ailleurs qui passerait par là. Par prudence, je n’hésite jamais une seconde : je la prends direct dans mes bras… et en général faut voir la tête du type qui promène le dit chien… yeux aux ciel, quand ce n’est pas comme la dernière fois une remarque acide comme : « ouh, attention, il va la manger », me parlant comme si j’étais la dernière des débiles.
Or je SAIS que ces chiens peuvent être aussi doux que des peluches. Mon cousin avait d’ailleurs un énorme spécimen de femelle pit que j’ai moi-même promenée, sans crainte d’ailleurs. Parce que je la connaissais.

Les "fit mums" me font chier

Ca faisait un moment que je n’avais pas réussi à trouver le temps de coucher mes reflexions hautement philosophiques sur clavier… mais je reviens avec un article dont l’idée me taraude depuis un bon moment, qu'un article lu ce matin vient de me décider à écrire...  Les « fitmums ». Les quoi ? Ces (agaçantes) mères physiquement parfaites qui affichent leur silhouette et leur healthy life avec enfants sur leurs comptes Instagram. La plupart sont pleines de bonnes intentions, et fières de leur corps, et on ne va surement pas les blâmer pour ça ! Mais… il y a un mais. Au départ, quand tu suis ce genre de compte, toi la plutôt #fatmum  que #fitmum, tu ressens de l’admiration et ça te donne envie de « t’améliorer » (vu qu’il est complètement accepté qu’être mince c’est mieux qu’être dodue voir grosse).
Photo de l'article en lien ici et ci dessus: oui les deux meufs sont enceintes... de un mois d'écart!
En tout cas, même si tu ne détestes pas ton corps, ça t’emplit de bonnes résolution et donne envie de faire comme elles, de passer à la healthy food, de faire du sport, de prendre soin de toi, de trouver ce dynamisme affiché en photos carrées chaque jour par celles qui semblent vivre une vie de rêve. Alors d’abord, il n’est pas inutile de rappeler que ces petites photos, largement mises en scène, ne montrent… que ce qu’elles montrent ! Ni le avant, ni le après et encore moins ce qu’il y a autour… Il n’est pas dit que la meuf ne vient pas de s’engueuler avec son mec juste avant, que son bébé-parfait si bien habillé ne se réveille pas toutes les 4 heures, et que c’est peut-être pour ça qu’elle bosse peu ou pas, et a donc le temps de ne s’occuper que de ses fesses ou presque (ou en tout cas de consacrer beaucoup de temps à les prendre en photo…). Donc déjà, les photos nous font croire à une vie qui n’est pas du tout réelle, mais bon, on a envie d’y croire parce que tout est si joli chez la fitmum.
De ses #smoothiebowl (bol de petit déjeuner équilibré et nutritif si possible vegan), à ses courbes toutes en longueurs, à ses postures de yoga… la meuf semble vivre dans un magazine et honnêtement, on a toute envie d’avoir cette vie rêvée, ou du moins cette partie visible. C’est que ça a l’air très cool de faire du 36 (faudrait essayer, hein), et de n’avoir pas de contraintes (la #fitmum ne se photographie pas quand elle est dans la salle d’attente du pédiatre depuis 52 minutes à attendre, notez bien)




Ce week end avec Déclic Eveil: vide dressing et brunch familial

J’ai deux minutes pendant la sieste de minouchette que j’ai avec moi aujourd’hui, pour vous présenter une chouette agence de garde d’enfants et le vide dressing que l’on fait ce WE dans le 9eme à Paris, avec Aude, maman copine de la crèche et blogueuse sur nozenfantscheris (dont je vous avais déjà parlé ICI).
Les vide dressings et moi c’est une grande (et longue) histoire qui découle d’années de consommation con-pulsive. Tu sais, ces virées chez H&M & co où tu chopes les trucs un par un en te disant « c’est pas cher »… et arrivé en caisse bien sur l’addition est quand même fatale. Bref, alors qu’aujourd’hui je suis passée à une consommation plutôt raisonnée et surtout un boycott relatif (= dans la mesure du possible mais pas absolu) des marques pas chères type Primark, H&M car régulièrement pointées du doigts pour les conditions infamantes de leurs ateliers à l’étranger, où d’ailleurs des enfants travaillent- voir CETarticle  ), or donc, cela fait donc quelques années que je fais des vide dressings. J’ai commencé dans la boutique d’une copine de mon quartier qui m’accueillait dans un échange de bons procédés : moi j’amène les copines, elle prête le lieu. Puis chez une autre qui a une boutique de bijoux, puis je suis passée à la vitesse supérieure en louant des stands chez les pros : Violette Sauvage. Mais il faut rentabiliser, alors je me suis demandée avec qui d’autres je pourrais faire un partenariat et j’ai découvert cette agence de garde d'enfants, Déclic Eveil, dont les locaux sont pour ainsi dire dans ma rue.